L’impartial – Les pseudo panafricanistes, la France et la Russie  par Yao Noël

« La Côte d’Ivoire est l’amie de tous et l’ennemie de personne ». Voilà ce qu’aimait à dire et à répéter le premier Président du pays Félix Houphouët-Boigny.

En clair, pour le vieux sage de Yamoussoukro, même en période dure de « guerre froide », la Côte d’Ivoire a ou peut certes avoir ses choix et options politiques internes et externes mais elle entretient des relations normales voire amicales de coopération avec tous les États du monde.

C’est cette orientation diplomatique majeure qui aura permis à la Côte d’Ivoire d’atteindre le niveau relativement favorable et élevé de décollage global.

« La Côte d’Ivoire est l’amie de tous et l’ennemie de personne ». Voilà ce qu’aimait à dire et à répéter le premier Président du pays Félix Houphouët-Boigny.

En clair, pour le vieux sage de Yamoussoukro, même en période dure de « guerre froide », la Côte d’Ivoire a ou peut certes avoir ses choix et options politiques internes et externes mais elle entretient des relations normales voire amicales de coopération avec tous les États du monde.

C’est cette orientation diplomatique majeure qui aura permis à la Côte d’Ivoire d’atteindre le niveau relativement favorable et élevé de décollage global.

Lire aussi : Liberté de la presse – Amadou Coulibaly présente les progrès de la Côte d’Ivoire

Mais voilà qu’aujourd’hui, près de 40 ans après la fin officielle de la guerre froide, certains néo-panafricanistes et prétendument « souverainistes » se lancent dans des postures, positions, invectives, défiances et autres outrances verbales et langagières.

En point de mire, il y a cette malheureuse et malencontreuse tendance de nombre d’entre eux à vouloir surfer sur une opposition ou concurrence entre la France, ancienne puissance coloniale et partenaire de beaucoup de nos pays africains, et la Russie arrivée beaucoup plus tard sur le continent et qui veut se frayer un chemin diplomatique.

C’est là où des individus plus ou moins manipulés, téléguidés et dressés se laissent aller à des prises de position, propos et déclarations enflammés, excessifs voire inamicaux.

Face donc à ce qui peut s’appeler confusion et amalgame, il y a lieu de bien recentrer ici le débat et surtout de recadrer tous ceux et celles qui, sous le prétexte de prôner le (néo) panafricanisme et une illusoire
« souveraineté », cherchent maintenant à se tourner vers la Russie et sa compagnie militaire privée Wagner.
Faudrait-il, parce qu’on prétend vouloir défendre la souveraineté, se jeter dans les bras d’un « nouveau maître » en vue de remplacer l’ancien ?

En réalité, de notre point de vue, il convient bien de revoir et revisiter certes les relations entre les pays africains anciennement colonisés et la France mais il faut rester lucide.

La domination, l’exploitation et la soumission ont vécu, c’est terminé. Il faut en finir vite maintenant.

Le temps est venu d’ouvrir une nouvelle page de relations d’égalité, de respect mutuel, de partenariat « gagnant-gagnant » sur la base non pas de l’inimitié mais de l’amitié, de la solidarité etc.

Qu’il s’agisse de la France, de la Russie ou de n’importe quelle autre puissance extérieure, ces principes fondamentaux d’égalité et de respect devront être au fronton de la coopération nouvelle et moderne.

Aucun pays, aucune nation, aucun continent, désormais, ne peut vivre en autarcie. Le monde actuel est celui de l’interdépendance et non celui du repli sur soi.

Le présent et l’avenir devront absolument reposer sur l’amitié, la solidarité (humaine), le respect et la considération pour tous les peuples de la terre.

Mais voilà qu’aujourd’hui, près de 40 ans après la fin officielle de la guerre froide, certains néo-panafricanistes et prétendument « souverainistes » se lancent dans des postures, positions, invectives, défiances et autres outrances verbales et langagières.

En point de mire, il y a cette malheureuse et malencontreuse tendance de nombre d’entre eux à vouloir surfer sur une opposition ou concurrence entre la France, ancienne puissance coloniale et partenaire de beaucoup de nos pays africains, et la Russie arrivée beaucoup plus tard sur le continent et qui veut se frayer un chemin diplomatique.

C’est là où des individus plus ou moins manipulés, téléguidés et dressés se laissent aller à des prises de position, propos et déclarations enflammés, excessifs voire inamicaux.

Face donc à ce qui peut s’appeler confusion et amalgame, il y a lieu de bien recentrer ici le débat et surtout de recadrer tous ceux et celles qui, sous le prétexte de prôner le (néo) panafricanisme et une illusoire « souveraineté », cherchent maintenant à se tourner vers la Russie et sa compagnie militaire privée Wagner.

Faudrait-il, parce qu’on prétend vouloir défendre la souveraineté, se jeter dans les bras d’un « nouveau maître » en vue de remplacer l’ancien ?

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En réalité, de notre point de vue, il convient bien de revoir et revisiter certes les relations entre les pays africains anciennement colonisés et la France mais il faut rester lucide.

La domination, l’exploitation et la soumission ont vécu, c’est terminé. Il faut en finir vite maintenant.
Le temps est venu d’ouvrir une nouvelle page de relations d’égalité, de respect mutuel, de partenariat « gagnant-gagnant » sur la base non pas de l’inimitié mais de l’amitié, de la solidarité etc.

Qu’il s’agisse de la France, de la Russie ou de n’importe quelle autre puissance extérieure, ces principes fondamentaux d’égalité et de respect devront être au fronton de la coopération nouvelle et moderne.

Aucun pays, aucune nation, aucun continent, désormais, ne peut vivre en autarcie. Le monde actuel est celui de l’interdépendance et non celui du repli sur soi.

Le présent et l’avenir devront absolument reposer sur l’amitié, la solidarité (humaine), le respect et la considération pour tous les peuples de la terre.

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