De la Côte d’Ivoire au Sénégal en passant par le Bénin, le Togo, le Mali, la République centrafricaine, la République Démocratique du Congo (RDC) etc., ces derniers mois, le climat politique s’est crispé, tendu voire détérioré. C’est que les perspectives et autres échéances électorales, ou non, ont ceci de particulier qu’elles « chauffent le coin », selon la belle expression populaire ivoirienne.
Et, pourtant un jeu démocratique ouvert et transparent suffirait à départager les protagonistes et compétiteurs politiques.
On aura beau tourner et retourner la question, tout se ramène, in fine, à l’authenticité de l’expression démocratique.
La parole et le choix doivent revenir absolument et inévitablement au peuple souverain.
A la limite, face à toutes les disputes, controverses et polémiques auxquelles on assiste ici et là en Côte d’Ivoire et sur le continent, il vaut mieux, s’en remettre, en dernier et ultime ressort à la volonté populaire.
Qu’il s’agisse de l’âge des prétendants au fauteuil présidentiel, de la durée ou du nombre de mandats, pourquoi tant « se fatiguer », pourquoi s’entredéchirer dans des absurdes querelles pré-électorales puis post-électorales?
En vérité, les égoïsmes et égotismes doivent pouvoir s’effacer au profit du seul intérêt national.
Il est vrai qu’il est plus facile à dire qu’à faire pour tous les acteurs politiques mais il le faut pourtant et nécessairement.
Au nom des générations actuelles et futures : pensons tous et toujours NATION..
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