De nos jours, les réseaux sociaux ne laissent personne indifférent ou muet. C’est donc sans ironie et raison que d’aucuns les qualifient de » réseaux sorciers », « réseaux mafieux » ou encore de » ragots sociaux » tout simplement. Pour sa part, l’auteur italien fort bien connu Umberto Éco a opiné et dit à propos de ces réseaux plutôt » boiteux »: « les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d’imbéciles qui, avant, ne parlaient qu’au bar, après un verre de vin et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite alors qu’aujourd’hui ils ont le même droit de parole qu’un prix Nobel. C’est l’invasion des imbéciles.”
C’est dire que le mal est devenu profond, grand et grave face aux dommages causés par certains internautes. De nos jours, ils occasionnent ou entretiennent la tension et la guerre. Il faut donc aller vite en guerre contre tous ces délinquants et criminels des temps actuels. A chaque évolution sociale, technologique, à chaque mutation mondiale d’envergure, la communauté des nations doit pouvoir réagir de façon prompte, diligente et ferme afin d’apporter des réponses idoines, appropriées. Pourquoi ne songerait-on pas, vu aujourd’hui, tous ces méfaits des réseaux sociaux, de par le monde, à créer une » ONU d’internet »?
Localement et internationalement, cela « ferait sens » en vue d’une lutte implacable et impitoyable. Aussi bien des réponses juridiques, pénales, judiciaires que financières, techniques et technologiques devront être vite trouvées pour donner toutes leurs chances à la paix et à la stabilité dans une communauté internationale, humaine et réconciliée. En effet et il faudra, de plus en plus, se le dire, parmi les nouveaux facteurs de guerre ( et de paix, aussi), figurent en bonne place, indiscutablement, les réseaux sociaux. Ceux-ci ont été conçus pour servir la race humaine et non l’asservir, la gêner, l’humilier et la compromettre ou mettre en danger mortel.
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