La politique censée être un moyen de mieux appréhender , maitriser et améliorer notre environnement et notre écosystème social et national en vue du bien-être de tous et de chacun, ne doit plus diviser, désunir, tuer etc.
L’actualité politique encore marquée par les péripéties, menaces et périls divers au Kenya après l’élection présidentielle qui n’a pas encore fini de nous livrer ses résultats, tous ses risques et tous ses secrets multiformes, vient encore nous montrer et démontrer qu’en Afrique, les périodes et crises post-électorales demeurent partout un véritable cauchemar.
Or, une élection est donnée pour être l’occasion toute trouvée pour choisir les ou le meilleur (s) dirigeant (s) pour conduire le peuple vers plus de bonheur, de sécurité, de paix, de quiétude et d’épanouissement.
Dès lors, tout comme la politique, elle-même, une élection ne doit pas donner lieu à de mortelles déchirures. L’élection est et doit demeurer la fête, le triomphe de la démocratie et non son crépuscule ou son anéantissement.
Pour le cas d’un pays comme la Cote d’Ivoire où la crise post-électorale de 2010- 2011 a arraché officiellement 3000 vies humaines, des tensions sont, de nouveau, perceptibles et manifestes trois ans avant l’élection présidentielle de 2025. Et pourtant, dans la vie de tous les jours, les citoyens et citoyennes ivoiriens sont plutôt des personnes joyeuses, pleines de vie, solidaires, des bons vivants etc. Tout cela dans un élan de fraternité et de sympathie reposant sur des blagues et des alliances à plaisanterie ou non.
Nombreux sont ceux et celles d’entre eux qui se retrouvent presque quotidiennement en familles, dans les églises, les mosquées, les veillées, les levées de corps, enterrements etc.
Et pourtant sur le terrain politique, ils deviennent subitement et étonnamment intolérants, crispés et cruels. La politique est un jeu démocratique.
Vivement vraiment que tous soient, désormais, gagnés par un esprit de Fair-Play pour accepter que celui qui a gagné, a gagné ! Et que, celui qui a perdu, a perdu !
Enfin et afin que la démocratie, le pays concerné et l’Afrique gagnent…
C’est dans l’intérêt et le bénéfice de tous et de chacun !
Laissez une réponse