Akwaba City / Opération « un commerçant, un toit » La FENACCI invite les commerçants à s’inscrire le 15 décembre

Le maire d’Adjamé, Soumahoro Farikou, par ailleurs, président du Conseil d’administration de la Fédération nationale des acteurs du commerce de Côte-d’Ivoire (FENACCI), invite tous les acteurs du commerce de Côte-d’Ivoire à s’inscrire à l’opération immobilière baptisée « un commerçant, un toit », à compter du 15 décembre 2022. Les commerçants verseront leur à-compte via un compte séquestre UBA ou BDU pour la réalisation de ce projet.

« Les objectifs visés sont résoudre la problématique de la vie chère en permettant à chaque commerçant de résider sur sa zone de commerce ; transformer la zone urbaine et renforcer la zone économique et surtout promouvoir les infrastructures », a expliqué Touré Ahmed Bouah, promoteur d’Akwaba City-Ville nouvelle, qui lance en partenariat avec la FENACCI l’opération « un commerçant, un toit ».

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M. Touré était face aux commerçants le mercredi 30 novembre 2022, dans l’après-midi, lors de la 5ème Assemblée générale extraordinaire de la FENACCI qui s’est tenue à la salle des mariages de la mairie d’Adjamé, en présence du maire de la commune, Soumahoro Farikou, président du Conseil d’administration de la FENACCI.

Le coût de la maturation de l’opération « un commerçant, un toi », un projet d’Akwaba City-ville nouvelle est de 49 milliards de Fcfa. « Conformément à la loi 97-524 du 4 Septembre 1997, l’Etat de Côte-d’Ivoire a accordé à un certain nombre d’acteurs privés et institutions, la mission de créer une ville urbaine .Cette mission est la nouvelle approche de l’Autorité ivoirienne.

Mise en évidence depuis le 9 mars 2007 sur 365000hectares, en passant de Jacqueville à Bonoua, en passant par Alépé, Azaguié, Anyama, et Dabou.

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Pour éviter le désordre urbain comme l’axe Abidjan –Bingerville, développé dans une sorte d’anarchie urbanistique avec son corolaire d’inondation en temps pluviale, l’Etat nous a confié la commune d’Anyama, la Chambre du Commerce et de l’Industrie, Etc.

Soit un total de 6150 hectares à promouvoir », a poursuivi Touré Ahmed Bouah. Et d’ajouter que la ville doit assigner ses quatre fonctions à savoir «le loisir, la circulation, l’habitat et l’emploi ».

Il a ensuite précisé que le plan cinématographique d’Adiaké, les technopôles et biens d’autres infrastructures sont en cours de réalisation grâce à l’accord de l’Etat selon la loi 87 obtenu par la FENACCI depuis le 7 décembre 2008.

« 703 hectares feront l’objet de morcellement ; Nous avons un portefeuille clientèles, nous avons des meilleurs promoteurs immobiliers du Maghreb pour financer le projet ; nous avons une cinquantaine de notaires qui sont sur les dossiers pour sécuriser les biens des uns et des autres », a rassuré le promoteur, Touré Ahmed Bouah.

Qui a affirmé que « tant que vous n’êtes pas industriels, vous ne pouvez pas bénéficier des avantages liés aux membres de la FENACCI. La FENACCI veut également promouvoir un certain nombre d’infrastructures en manque dans le grand Abidjan : le marché de gros qui sera situé à Abobo , le marché des automobiles , la gare inter urbaine, le marché des industriels, le parking de véhicule de poids lourds… ».

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Aussi, rendant témoignage que l’Etat de Côte-d’Ivoire leur a donné le patrimoine foncier pour réaliser le projet, il a félicité ses bienfaiteurs. «Contrairement à la FENACCI qui a souhaité 80.000 lots viabilisés pour ses agents, le président du secteur agricole, lui, en a pris 2000 pour les agriculteurs. Le m² étant à 12000 fcfa, le commerçant est appelé à prendre autant qu’il veut. Minimum 400m² x 12000 fcfa soit un total de 4 million 800 Fcfa à verser dans l’une des banques sus-indiquées », a conclu M. Touré Ahmed Bouah.

La FENACCI a sollicité auprès des partenaires, six mois pour la vente des terrains au lieu de quatre mois et souhaité pour toute information concernant l’adhésion de prendre attache avec son PCA , Soumahoro Farikou. L’opération « un commerçant, un toit » qui est prévu pour décembre 2023 est aux mains de la BNETD et bien d’autres structures techniques.

Kouadio N’Guessan.

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