Depuis le lancement de l’Opération Epervier 10, le jeudi 7 novembre 2024, à Bonoua, le commissaire de police, Sanogo Alassane, chef de service, et ses hommes, appuyés par un détachement d’éléments du Groupement mobile d’intervention (GMI) d’Aboisso, sont à la tache dans leur circonscription. Plusieurs zones criminogènes ont été prises d’assaut ; ce qui a permis la destruction de fumoirs à Bonoua et à Samo, la saisie d’une quantité importante de boulettes de cannabis à la Gare routière de Bonoua et au quartier Terrain JB de Samo et l’interpellation de plusieurs individus.
Au cours des patrouilles de sécurisation composées d’éléments du commissariat de police de Bonoua et d’éléments de la brigade anti criminalité dudit commissariat appuyés par un équipage du GMI, la police locale a saisi également, le vendredi 8 et le jeudi 14 novembre, une bonne quantité de comprimés ( tramaking et tramadol) toujours à la Gare routière de Bonoua et au quartier Terrain JB de Samo, village communal situé à sept kilomètres. Ce n’est pas tout. Plusieurs paires de ciseaux, des couteaux, une clé de menottes, un briquet et un mini-ordinateur ont été saisis au cours de ces opérations de grande envergure qui ont duré de 8h à 14h. Trois individus, dont l’âge varie entre 19 et 23 ans, ont été interpellés puis déférés au parquet de la section de tribunal de Grand-Bassam pour vente et consommation de stupéfiants. Notons que les patrouilles de sécurisation et les rafles inopinées se poursuivent aussi bien à Bonoua que dans les bourgs de Samo et de Yaou.
Sam K.D
Correspondant régional
Légende photo
Une vue des objets et produits saisis au cours des patrouilles de sécurisation de la police (Ph : SKD)
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