Le constat est, de plus en plus clair et net, fort regrettable : au fur et à mesure que l’on approche de l’échéance présidentielle de 2025, la tension monte et l’atmosphère devient délétère et désagréable. Les propos irrespectueux, discourtois, toxiques se succèdent de part et d’autre des états-majors et partis, formations et mouvements politiques.
En sens inverse, l’on note de façon étrange, curieuse et malheureuse, » motus et bouche cousue' » ou presque sur les offres politiques, les projets de société ou programmes de gouvernement. La politique, disait et répétait le Président Félix Houphouët-Boigny, est faite pour le bonheur de l’homme et non pour son malheur ou pour sa descente aux enfers.
Pouvoir se nourrir, se soigner, se loger, se vêtir, pouvoir envoyer les enfants à l’école, les soigner, les éduquer, avoir le bonheur etc. Voilà les aspirations, préoccupations et attentes de tout être humain. Tout le reste relève du superflu et de l’accessoire social et sociétal.
En ces heures de modernité politique et de crise globale, mondiale et multiforme, le débat doit être sain et constructif. Il n’est ni dans la haine ou la vaine et laide détestation les uns envers les autres, surtout à l’intérieur d’une même nation. Le nouveau et vrai débat politique se veut démocratique, constructif dans un plaidoyer utile, citoyen et constructif pour le bien-être et le bonheur de tous et de chacun.
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