La CAN ou Coupe d’Afrique des nations de football se déroule en ce moment et activement en Côte d’Ivoire. Au fur et à mesure que les matchs se déroulent, les spectateurs, les téléspectateurs, les supporters et autres dirigeants sportifs etc. découvrent davantage et doivent intégrer et s’habituer à un nouveau et désormais concept à savoir « l’assistance vidéo à l’arbitrage » ( en anglais « vidéo assistance referee » ou VAR). Plus que jamais, ce procédé vidéo-footballistique permet de scruter au plus près les manquements et les fautes commis au cours d’un match de football.
Indiscutablement, la VAR est une belle trouvaille pour améliorer l’arbitrage et aider les arbitres à prendre la bonne et prompte décision afin de ne léser ou frustrer personne. De ce fait, la VAR permet d’éviter les écarts, les erreurs, les fautes, les manquements et surtout les injustices, mauvaises et grossières erreurs d’arbitrage au cours d’un match.
Du coup, vu ses bénéfices et avantages, l’on se prend à rêver de l’introduction d’un genre de VAR dans le microcosme politique pour encadrer, réguler les pratiques, mœurs et comportements dans le sens de l’assainissement de la vie politique. Sous nos cieux et sous nos tropiques, l’avantage d’une telle révolution viendrait prévenir bien de mauvaises pratiques et stopper net tous les contrevenants et tous les politiciens sans foi ni loi. C’est peu dire que le continent africain, sur le terrain politique, a aussi besoin de balises et de garde-fous que seule une VAR intelligemment et opportunément introduite (en politique), pourrait procurer et garantir.
En définitive donc, en plus du rapprochement des peuples et des citoyens dans le sens d’une salvatrice et bénéfique intégration que permet la CAN, la démocratie, la paix et la stabilité pourraient elles aussi être promues et avancées grâce à elle et son observatoire des mœurs et pratiques politiques qu’est sa fameuse VAR.
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