Elle est là…Elle est encore arrivée…Voilà bel et bien la saison des vœux, en tous genres, en toutes natures.
Bonne et heureuse année…
Santé, bonté, prospérité…On eut dit = « tous les… »bon té » ».
C’est de tradition et c’est de bonne pratique conviviale et sociale que les uns et les autres s’adressent, en début d’année, le meilleur et le positif. Ce n’est pas si mauvais ou inutile et c’est surtout bon pour le moral, pour la résilience et même pour la résistance.
Le seul problème pour les vœux et avec les vœux, c’est que l’on ne parvient pas toujours à séparer le bon grain de l’ivraie, le sincère de l’hypocrite voire du mensonger et du fallacieux. Tout est mélangé, obscur…C’est l’embrouillamini…Beaucoup sont, hélas, les personnes qui se détestent presque cordialement mais qui se croient tenues et obligées de s’adresser des vœux quand survient le nouvel an.
Mais la société globale est ou reste-t-elle à une comédie sociale ou une hypocrisie près ?
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Le second problème qui est un constat découlant du premier, c’est la démagogie, la roublardise voire le mensonge de certains acteurs et surtout dirigeants politiques. Leurs vœux et leurs promesses exprimés le premier janvier n’engagent que ceux et celles qui osent encore y croire.
En définitive, le seul, vrai, urgent et pressant vœu à réellement former et formuler, de nos jours, est de souhaiter que les vœux aussi bien hypocrites que pieux et démagogiques deviennent de vrais vœux et soient véritablement suivis d’effets, ne serait-ce, déjà, que d’un début d’exécution ou de réalisation.
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