Uriner sous la douche pourrait déclencher, à terme, un grave problème de santé. Les adeptes de cette pratique devraient donc penser à changer leurs habitudes. Certains ne l’admettront jamais et pourtant, ils l’ont probablement déjà fait, consciemment ou par accident. Faire pipi sous la douche est devenue une habitude régulière pour de nombreuses personnes mais reste, malgré tout, un sujet malaisant. Attention toutefois car cette pratique pourrait déclencher, à terme, un grave problème de santé, selon la gynécologue Teresa Irwin, dont les propos ont été relayés par The Mirror.
Comme elle l’a expliqué, uriner sous la douche n’est pas nécessairement une mauvaise chose. Cela pourrait même être bénéfique pour les femmes s’il est fait avec parcimonie, car se tenir debout permet à la vessie de se vider complètement car elle n’est pas restreinte par le mouvement de s’accroupir ou de s’asseoir. Mais cela peut être préjudiciable s’il est fait trop souvent.
Car en le faisant systématiquement, les adeptes de cette pratique pourraient bien devenir incontinent. Selon la gynécologue, le cerveau pourrait finir par associer le bruit de l’eau courante au besoin d’uriner, de sorte qu’à chaque fois qu’ils ouvriront un robinet, même juste pour faire la vaisselle, ils ressentiront le besoin de se précipiter aux toilettes.
À noter également, qu’en urinant sous la douche, le flux sera probablement un peu plus lent. Mais pas de panique, cela n’est en rien inquiétant. “En fait, c’est plutôt bien parce que cela ne vous oblige pas à mettre beaucoup de stress et de tension quand tu fais pipi avec force », a-t-elle conclu.
Selon le site de l’Assurance maladie, l’incontinence urinaire concerne au moins 2,6 millions de personnes de plus de 65 ans. Elle peut également toucher les personnes plus jeunes. Au quotidien, le risque de fuites urinaires peut être augmenté en cas de consommation excessive de liquides, de caféine, d’alcool et de tabac. Mais aussi lorsque l’activité physique est perturbé.
Par exemple lorsque la mobilité est réduite à cause d’une maladie physique ou psychique ou, au contraire, lorsque l’activité physique est intensive. Et en particulier, lorsque la personne concernée pratique de sports qui provoquent des pressions répétées sur le périnée (haltérophilie, marathon, trampoline…).
(Source : The Mirror)
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